L'achat WhatsApp Messenger par la société Facebook a généré une véritable hystérie autour de l'entreprise qui a développé la célèbre application de messagerie texte, son co-fondateur devant répondre à plusieurs reprises à diverses questions assez insolites sur l'avenir du service. De nombreux analystes ont remis en question le pouvoir discrétionnaire dont disposent ceux de Facebook concernant la confidentialité des conversations des utilisateurs, et maintenant co-fondateur de l'entreprise essaie de te calmer le monde entier.
Par-dessus tout, je veux m'assurer que vous comprenez à quel point j'apprécie le principe de la communication privée. Pour moi, c'est très personnel. Je suis né en Ukraine et j'ai grandi en URSS dans les années 1980. L'un de mes souvenirs les plus forts de cette époque est une phrase que j'entendais fréquemment lorsque ma mère parlait au téléphone : « Ce n'est pas une conversation téléphonique ; Je vous le dirai en personne. Le fait que nous ne pouvions pas parler librement sans craindre que nos communications soient surveillées par le KGB est en partie la raison pour laquelle nous avons déménagé aux États-Unis lorsque j'étais adolescent.
Faisant une comparaison avec son enfance passée en Ukraine à l'époque où existait encore l'URSS, Jan Koum a déclaré que WhatsApp Messenger ne se transformera pas en un système de communication surveillé par une agence gouvernementale ou par Facebook. Il essaie d'assurer aux utilisateurs que leur vie privée est protégée sans aucun compromis devant les agences gouvernementales américaines, mais en réalité personne ne peut savoir à quel point il y a de vérité derrière ses paroles.
