WhatsApp est dans le viseur de la Commission européenne, qui en a un peu marre des fausses informations qui circulent en continu via la plateforme de messagerie, apparemment sans pouvoir être stoppée par celle-ci. Dans cette idée, la Commission européenne est devenue un peu plus agressive dans la manière dont elle traitera WhatsApp et ses politiques en matière de fausses informations, et ce après que de nombreuses informations sur le Coronavirus aient été diffusées sans arrêt à travers la plateforme.
WhatsApp n’a pas fourni beaucoup d’informations à la Commission européenne, ni à qui que ce soit, sur la manière dont elle tente de lutter contre les fausses informations qui circulent sans arrêt via sa plateforme. Compte tenu de cette démarche, la Commission européenne préparerait une législation qui obligerait Facebook et WhatsApp à divulguer toutes les actions qu'ils entreprennent pour lutter contre la diffusion de fausses informations parmi les utilisateurs dans le monde entier.
WhatsApp : décision à impact IMPORTANT de la Commission européenne
WhatsApp va être visé par une série de nouvelles règles que la Commission européenne va annoncer dans les prochaines heures, visant à stopper la diffusion de fausses informations parmi les Européens. Nous parlons très probablement de règles qui seront assorties de sanctions pour forcer WhatsApp à se conformer à ce qui est exigé d'elle, et nous pourrions voir de grands changements pour la plateforme dans l'idée de se conformer aux exigences venant de la Commission européenne.
WhatsApp a imposé une fonction qui restreint le renvoi des messages s'ils deviennent viraux, et a déclaré que cela réduirait la diffusion de fausses informations de plus de 50 %, mais la Commission européenne a un avis différent. Il est possible que WhatsApp soit contraint de prendre des mesures encore plus restrictives pour empêcher une diffusion beaucoup plus large de fausses informations sur la plateforme par diverses entités, mais nous devrions en apprendre davantage sur ce projet dans les prochaines heures.
WhatsApp a été de plus en plus sévèrement critiquée en raison du fait qu'elle refuse d'arrêter la diffusion de fausses informations via sa plateforme, notamment en Inde, et maintenant la Commission européenne est aux prises avec les problèmes en Europe.
