Les militaires des armées roumaine et française ont poursuivi leur formation durant cette période en Roumanie, et ce afin d'améliorer leur interopérabilité dans le cadre d'éventuelles missions actives auxquelles ils pourraient participer à un moment donné, partout dans le monde.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, nous avons vu de nombreuses preuves du fait que les militaires roumains s'entraînent de plus en plus sérieusement avec ceux envoyés dans le cadre des forces de l'OTAN en Roumanie, tout étant fait dans l'idée de garder les troupes prêts, d'autant plus que nous avons une guerre aux frontières.
"Nous devons nous entraîner ensemble pour pouvoir combattre ensemble.
Les chasseurs alpins de la 27e Brigade de chasseurs de montagne d'Annecy et ceux du 93e Régiment d'artillerie de montagne de Varces-Allières-et-Risset viennent de réaliser dix jours intenses de simulations de combat avec leurs nouveaux camarades du 22e Bataillon de chasseurs de montagne de Saint George.
"Depuis notre arrivée en Roumanie, en mars, les Roumains sont très motivés pour travailler avec nous. Partout où nous sommes, et c'est aussi le cas ici. Ils sont super professionnels. Nous avons même formé deux sections mixtes, avec des groupes de Roumains et de Français. C'était vraiment génial!" … conclut le capitaine François.
Le commandant de la 61e Brigade de chasseurs de montagne, le colonel Nicolae-Gabriel Oros, a organisé une mission de soutien et d'accompagnement des tirs de mortier, en utilisant la seule compagnie de chevaux encore existante en Roumanie, pour transporter plus facilement les munitions vers les positions de tir en terrain difficile. d'accès. "Nous devons nous entraîner ensemble pour pouvoir combattre ensemble"... Colonel Nicolae-Gabriel Oros."
