Le Ministre de la Santé: L'annonce concernant un problème important des hôpitaux en Roumanie

Annonce du Ministre de la Santé Le problème important des hôpitaux roumains

Le ministre de la Santé a parlé lors d'une conférence de presse de l'un des plus grands problèmes auxquels est confronté le système médical en Roumanie, et nous parlons de quelque chose qui peut difficilement être réalisé facilement, plus précisément la réparation et la modernisation des hôpitaux en Roumanie.

Le ministre de la Santé affirme qu'il est du devoir de l'État roumain d'offrir aux Roumains des services médicaux conformes aux normes européennes, même s'il existe des associations privées qui investissent dans la modernisation des hôpitaux avec des fonds privés, mais il est nécessaire d'impliquer davantage les les autorités.

"Les enfants sont le capital le plus important de ce pays et nous devons le faire de manière à ce qu'ils se développent harmonieusement. S’ils ont besoin d’une assistance médicale, qu’ils la reçoivent à temps, dans des conditions civilisées. Voici quelque chose que M. le président Maticiuc n'a pas mentionné, mais je l'ai porté à son attention, il est très difficile d'adapter des bâtiments anciens aux normes actuelles.

Il faut savoir que ce problème d'aménagement d'une salle d'hôpital, notamment celle où se déroulent des manœuvres invasives, est un problème dont tout le monde parle, celui des infections liées aux soins. Toute infection associée à un acte médical ou à la présence dans un espace médicalisé est appelée infection nosocomiale.

Il est très difficile de lutter contre ce type d'infections si l'on ne dispose pas de certaines conditions minimales, et le domaine des groupes sanitaires est un domaine vital pour pouvoir contrôler ce phénomène. L'avenir, si Dieu nous aide à faire des hôpitaux régionaux, à travers le PNRR, ou à partir d'autres sources de financement, il est important d'avoir un réseau d'hôpitaux qui corresponde aux normes actuelles.

Par exemple, dans une unité de soins intensifs, il devrait y avoir 1 patient par chambre, mais il est très difficile de le garantir. La partie des groupes sanitaires, la partie des circuits est très difficile à adapter dans les bâtiments anciens. En revanche, si ce sont celles-là que nous avons, une initiative comme celle de cette fondation, Metropolis, et d'autres fondations, je dirais qui ont développé des modèles de bonnes pratiques, est salutaire.

Quel que soit le travail des associations et des fondations, elles ne peuvent pas remplacer la responsabilité qui nous incombe, car de nombreuses entités ont des hôpitaux sous leur contrôle. Nous sommes déjà en minorité, mais nous sommes aussi allés à la campagne, et il y a beaucoup de choses qui montrent une vision, une volonté de changement, il y a beaucoup d'autorités nationales ou locales qui ont réussi beaucoup de beaux projets.