L'Autriche bloquée par des critiques dures après les décisions MAJEURES de Nehammer pour Schengen et la Roumanie

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L'Autriche est mise au mur par une série de critiques extrêmement sévères qui montrent au monde entier quelles décisions extrêmement graves ont été prises après le veto donné à la Roumanie pour l'adhésion à Schengen, et cela parce que le gouvernement Nehammer a décidé de créer une série de districts spéciaux dans lesquels pour accueillir les migrants qui ont demandé l’asile dans le pays européen.

L'Autriche est accusée par Amnesty International d'avoir créé des conditions d'hébergement inhumaines dans ces quartiers, mais aussi de ne plus respecter les droits de l'homme, mais le ministre de l'Intérieur, Gerhard Karner, s'oppose fermement à ces affirmations, affirmant que son pays a atteint la limite de point de vue des demandes d’asile.

L'Autriche rejette les accusations de l'ONG, mais malgré tout cela, la ministre Karner affirme que les lieux d'hébergement actuels devaient être aménagés de manière à ce que les migrants ne finissent pas par chercher refuge dans les lieux publics, la situation elle-même étant assez compliquée, mais pour l'instant la seule solution pour le gouvernement Nehammer reste le plus efficace en matière de protection des frontières.

« Dans son rapport annuel 2022/23, Amnesty International a critiqué les « conditions inhumaines » d'hébergement des demandeurs d'asile. En outre, Amnesty a identifié une « tendance inquiétante selon laquelle certains responsables politiques autrichiens remettent de plus en plus en question les droits de l'homme ». L'Autriche se trouve à un tournant, "la cohésion de notre société est mise à mal".

Karner a admis que le nombre de migrants au cours de l'année écoulée avait "atteint la limite de l'endurance" - mais s'est défendu : "Les quartiers d'urgence étaient nécessaires pour empêcher les réfugiés de se déplacer vers nos places principales, nos rues et devant les jardins d'enfants. Je pense qu'Amnesty International a gâché le pays. Cette description de la situation n'a rien à voir avec l'Autriche !''.