Marcel Ciolacu: Annonces sérieuses de DERNIÈRE HEURE du président du PSD pour toute la Roumanie

Marcel Ciolacu DERNIÈRE FOIS Annonces sérieuses du président PSD Toute la Roumanie

Marcel Ciolacu a décidé de transmettre une série d'annonces sérieuses de dernière minute pour toute la Roumanie, le président du PSD parlant pour la première fois de l'un des changements les plus controversés pour le pays, l'application de l'impôt sur le revenu progressif, qui ne peut être réalisé. facile.

Marcel Ciolacu parle également officiellement de ce que la grève générale dans l'éducation a imposé comme changements au gouvernement, mais en dehors de cela, il attire également l'attention sur ce qui a été fait, ou doit être fait, à l'heure actuelle, pour les étudiants et les enseignants. de retourner en classe le plus rapidement possible.

"La bonne direction est une fiscalité progressive. Je le répète, à part la Russie et un autre État, il y en avait actuellement deux, il n'y en a qu'un de plus de l'Union européenne, ils ont tous mis en place l'impôt progressif. Si vous pensez que mon opinion est contraire à celle de toute l’humanité, je vous dis que ce n’est pas le cas. Mais je le répète, tant que l'Etat n'aura pas fait son travail, celui de numériser l'ANAF, il n'est pas question d'instaurer l'impôt progressif.

Je pense que nous avons tous dû apprendre quelque chose de cette grève générale, je suis désolé que les enfants et les parents aient souffert de cette incertitude. Il s'agit d'un règlement, pour être juste, de certains faits ou décisions, pris en mon nom ou par l'actuel Premier ministre Nicolae Ciuca. C'est un règlement accumulé depuis plusieurs années, et négligé par certaines personnes, qui sont venues nous demander paiement.

Ce n’est ni le premier ni le dernier, comme vous le savez bien. Il y a des choses que j’ai maintenant très bien compris de la part des dirigeants syndicaux, d’où s’est accumulée cette crise sociale. C’était une série de mauvaises décisions à un moment donné. Ce n’était pas le plus petit budget du ministère de l’Éducation, mais théoriquement le plus important.

Je pense qu'ils se sont accumulés et que les paramètres et indicateurs n'ont pas été très bien pris en compte, en matière d'éducation, au moment de la loi 153. C'est là que cette insatisfaction a commencé. Je comprends le comportement de ceux de l'opposition, chacun... doit répondre selon son comportement."