Marius Budai: Réactions de DERNIÈRE HEURE dans le cas des HORREURS des maisons de retraite de Bucarest

Réactions de Marius Budai DERNIÈRE FOIS Cas d'horreurs Asile pour personnes âgées Bucarest
Marius Budai, ministre du Travail.

Marius Budai transmet une série de réactions de dernière minute dans le cas des horreurs découvertes dans les maisons de retraite de Bucarest, et cela parce que le ministre du Travail parle de ce qui existe dans les dossiers des institutions qui s'occupent de l'accréditation de cette type de centres de soins et d'assistance, qui existent dans tout le pays.

Marius Budai dit ci-dessous qu'il veut découvrir la vérité et donne quelques détails sur la façon dont l'une des associations qui exerçait son activité sous l'empire de soins et d'assistance aux personnes âgées à Bucarest a obtenu une licence, avant le début de l'enquête DIICOT, maintenant bien plus d'un an.

"Concernant la situation des centres de soins et d'assistance qui font l'objet de l'enquête de la DIICOT, j'ai procédé au cours de ces deux jours à une analyse des conditions d'agrément, en premier lieu, de ces centres. Je dois avouer qu'en tant qu'ancien travailleur social depuis 1995, je suis effectivement choqué et indigné par ce que j'ai vu à la télévision et par ce qui continue d'apparaître quotidiennement dans la presse à travers ces transcriptions.

C'est scandaleux, c'est choquant, et j'espère que, dans les plus brefs délais, les organismes d'enquête agiront avec fermeté, afin que les coupables répondent devant la loi et que le reste d'entre nous et le public découvrent la vérité. Je dis découvrons la vérité, car je présenterai un peu, chronologiquement, l'agrément de ces centres et, suite à l'analyse que j'ai faite avec mes collègues du ministère du Travail.

Nous avons constaté, dans le cas de l'Association Saint Gabriel le Brave, que la première licence provisoire a été délivrée en mars 2021, sous la signature du ministre de l'époque, c'était la base de ce qui s'est passé plus tard, selon la loi, à savoir l'élaboration et la délivrance d'une autre licence, qui a été renouvelée pour une durée de 5 ans, en novembre 2022, sous la signature du secrétaire d'État.

Je précise que, chaque année, l'Agence départementale des paiements et de l'inspection sociale doit effectuer des contrôles dans ces centres, pour observer ce que signifie respecter les normes minimales et les conditions pour que ces centres continuent à avoir une licence. Ce qui m'a beaucoup bouleversé, je le répète, en tant qu'ancien intervenant dans ces centres et en tant qu'ancien intervenant à l'assistance sociale.

C'est ce que nous avons constaté dans les dossiers d'accréditation, ce qui est en contradiction majeure avec ce qui est présenté publiquement. Il faut être très prudent sur les photos suivantes que je vous montre, qui sont, je le répète, comme je l'ai dit, en contradiction majeure avec ce que les procureurs de la DIICOT ont constaté."